L’envie de la jeune génération pour acheter un logement
Il ressort d’une enquête réalisée par l’institut Ifop et publiée par Optimhome en mai 2018 que les jeunes souhaitent acquérir une résidence principale. Ce sondage a été réalisé sur un échantillon de 1504 personnes âgées de 25 à 65 ans.
Quelques chiffres
La jeune génération fait de l’accession à la propriété une priorité ! Dans une enquête publiée par OptimHome, 30 % des 18-34 ans (Millenials) souhaitent devenir propriétaires dans les 2 ans. Ils ne sont plus que 22 % à le vouloir pour les personnes âgées de 35 à 41 ans (Xennials) et 13 % des 42-52 ans (génération X).
A contrario, très peu d’entre eux veulent se lancer dans l’investissement locatif (8 %) et encore moins dans l’achat d’une résidence secondaire (4 %).
Budget alloué à l’achat d’un bien immobilier
Ces 3 dernières années, le budget alloué pour l’achat d’un logement est inférieur à 200 000 € pour 57 % des français, avec un recours au crédit immobilier pour 82 % d’entre eux. La durée de souscription étant d’ailleurs supérieure à 16 ans pour 63 % des crédits.
Seuls 10 % des français disposent d’un budget supérieur à 350 000 €.
Les raisons qui incitent à l’achat immobilier
Les taux bas des différents crédits immobiliers (41 %), la baisse des prix immobiliers (26 %), le PTZ (11 %) ou encore les dispositifs de défiscalisation (7 %), sont les principales raisons qui poussent la jeune génération à acheter.
L’environnement (espace vert, pollution de l’air, etc.) et la performance énergétique sont d’ailleurs des éléments largement pris en compte dans le choix de leur logement.
L’ouest de la France, un lieu attractif
Les villes les plus attractives restent pour la majorité celle de l’ouest de la France, avec en tête Bordeaux, Paris, Nantes et Marseille.
Méthodes pour rechercher son logement
Pour la plupart des français le recours à un agent immobilier est systématique (62 %). Les moyens pour rechercher son logement diffèrent un peu d’une génération à une autre. En effet, 83 % de la génération X est intéressée par la possibilité d’une visite virtuelle contre 71 % pour les Millenials.