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Oney payement fractionné : Acheter maintenant et payer plus tard partout avec Oney +

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Oney organisme financier
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Pionnière du paiement en plusieurs fois et des cartes enseignes, la banque en ligne Oney va aujourd’hui plus loin. Avec Oney +, elle fournit à ses clients un moyen de fractionner leurs dépenses partout et tout le temps.

Une carte pour tout payer en plusieurs fois

Carte Oney

Oney + c’est un compte de paiement, associé à une carte Visa et à une application. La carte bancaire permet, comme une carte traditionnelle, de régler en ligne et chez les commerçants. Ensuite, il est aussi possible de retirer des espèces dans les distributeurs automatiques. Mais son détenteur peut choisir de payer en 3 ou 4 fois grâce au paiement fractionné.

Après avoir utilisé sa Visa dans une boutique, l’utilisateur reçoit une notification sur son portable via l’application. Celui-ci est invité à choisir la répartition de ses dépenses. Il peut décider de payer en une ou plusieurs fois tout ou partie de la transaction. Il peut même désigner le compte bancaire sur lequel les prélèvements auront lieu. Sur l’app, il visualise ses remboursements et l’état de ses comptes en temps réel.

Deux offres sont proposées :

  • Oney + Original, une carte Visa Classique facturée 2,50 euros par mois ;
  • Oney + First, une carte visa Premier facturée 5,90 euros par mois.

Principale différence entre les deux options : le nombre de retraits mensuels autorisés dans la zone euro (3 pour Oney + Original, 5 pour Oney + First). Ensuite, la carte Visa Premier procure en plus un package d’assurances intégrant une protection des moyens de paiement, une garantie sur les smartphones et des assistances pendant les voyages (perte et vol de bagages, responsabilité civile à l’étranger, neige et montagne…).

Pourquoi c’est révolutionnaire avec Oney ?

Dès 2008, la banque en ligne Oney met le paiement fractionné à la disposition de ses clients. Depuis, elle a été rejointe par de nombreuses concurrentes comme Floa Bank ou Boursorama Banque. Ce marché en pleine croissance (+30% par an) attise également l’appétit des fintechs et des applications comme Scalapay, Alma, ou Klarna. Même le géant Paypal s’y est mis en juin 2020.

Mais avec Oney +, la filiale de BPCE prend une longueur d’avance. Habituellement, le paiement en trois, quatre ou dix fois nécessite un accord préalable entre l’établissement bancaire et le vendeur. Par exemple, quand vous utilisez Klarna, vous pouvez étaler seulement les emplettes effectuées auprès d’un partenaire comme H&M, Boohoo ou Volcom. Avec Oney +, vous n’avez pas besoin de l’aval du commerçant, vous passez directement par votre banque pour fractionner vos dépenses. Vous pouvez donc acheter maintenant et payer plus tard dans tous les magasins, partout dans le monde.

Et à la différence d’un prêt personnel, l’autorisation est donnée immédiatement. Depuis l’application, vous signez l’engagement de crédit et les échéances sont programmées. Seule limite, le montant du paiement étalé ne doit pas dépasser 1000 euros.

Oney: le temps, c’est de l’argent

Car malgré les apparences, le paiement en plusieurs fois est bien un crédit. Et qui dit crédit dit taux d’intérêt. Si les frais peuvent parfois être pris en charge par le vendeur dans le cadre d’un règlement en plusieurs fois sans frais, ce n’est pas le cas lorsque vous utilisez l’une des cartes Oney +.

En complément de la cotisation mensuelle, l’utilisateur doit s’acquitter de frais à chaque fois qu’il diffère une facture. Ils sont de :

  • 1,45% du montant, dans la limite de 15 euros pour un paiement en trois échéances ;
  • 2,2% du montant dans la limite de 20 euros pour un paiement en quatre échéances.

Ainsi, quand vous achetez un téléphone à 150 euros que vous répartissez en 3 échéances, des frais de 2,18 euros sont prélevés en même temps que les 50 euros de la première mensualité. Soit un taux annuel effectif global de 19,26% !

Si les montants paraissent anodins, l’augmentation du recours au règlement en plusieurs fois et donc la multiplication des frais inquiète les pouvoirs publics. De plus, contrairement à une demande de crédit à la consommation, les établissements financiers ne sont pas tenus de vérifier le taux d’endettement des ménages qui fractionnent leurs dépenses. Cette facilité de paiement pourrait-elle renforcer la précarité budgétaire des consommateurs les plus fragiles et créer des situations de surendettement ?

Pas pour Oney

Celui-ci souligne que seules 1% des échéances de paiement fractionné sont impayées. Pour elle, cette solution est une alternative au crédit à la consommation, en particulier au crédit renouvelable. Avec ces TAEG variables et ses durées de remboursement à rallonge, ces emprunts sont souvent pointés du doigt pour leur rôle dans l’endettement des familles. La banque en ligne connaît bien le sujet. En plus d’accorder ces crédits, elle est partenaire des actions de l’association CRESUS, spécialiste de l’accompagnement des ménages fragiles financièrement.

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