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Crowdequity : quels risques ?

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Crowdequity : quels risques ?
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Vous cherchez à investir ? Le crowdequity vous intéresse ? Mais savez-vous bien de quoi il s’agit et quels sont vos risques en plaçant votre argent sur ce type de produit ? Eclairage.

Le crowdequity n’est, ni plus ni moins, qu’une déclinaison du crowdfunding consistant à mettre en relation des entreprises qui cherchent à lever des fonds pour développer leurs activités et des particuliers qui cherchent à investir dans des projets auxquels ils adhèrent. C’est une forme de financement participatif qui s’effectue via des plateformes internet.

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On appelle crowdequity l’action de participer au capital d’une entreprise non cotée en bourse qui a besoin d’argent. Via une augmentation de capital, vous achetez des parts ou des actions de la société et en percevez les dividendes.

Des risques à ne pas sous-estimer

Avantages ? La possibilité d’investir dans des secteurs innovants et diversifiés. De nombreuses entreprises (TPE, Startup…) cherchent, en effet, des financements via le crowdequity. Les taux de rendement annoncés sont généralement attractifs, pouvant aller de 5 à 10 % et plus.

Inconvénients ? S’agissant d’entreprises généralement jeunes et vulnérables, vous faites un pari sur leur capacité à se développer et les rendements attendus ne seront pas forcément au rendez-vous.

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D’où la nécessité d’opter pour une plateforme sérieuse qui a vérifié, en amont, l’attrait du projet et qui vous accompagne lors du processus d’investissement. Il faut notamment s’assurer des conditions dans lesquelles vous pouvez sortir de votre investissement, la revente n’étant pas toujours évidente. Surtout si l’entreprise n’obtient pas les résultats escomptés.

Depuis le 1er octobre 2014, les plateformes internet qui proposent ce type d’investissement doivent être soit enregistrées comme conseiller en investissement participatif (CIP) en cas de souscription au capital d’une société non cotée, soit intermédiaire en financement participatif (IFP) en cas de financement sous forme de prêt. Ces statuts supposent que ces plateformes respectent certaines contraintes, notamment en matière de formation et d’information auprès des investisseurs.

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